tomoe Mer 17 Aoû - 3:36La nuit tombe doucement sur le campement à croire que rien ne s’était passé. Pourtant la lune possède en cette nuit une aura rougeâtre, sans doute au fait que la journée avait été tellement longue et ensanglantée. Les hommes d’AOI se reposaient, se soignaient des multiples blessures provoquées par l’ennemi JIMEN. Les prêtresses dansaient pour que les défunts puissent en paix rejoindre l’autre monde.
L’ombre Gelée regarda sans expression son peuple ou plutôt ses hommes si affaiblit et si tristes… Les Dix se tenaient au coin d’un feu à l’écart des autres guerriers. Kage s’approcha d’eux et remarqua ainsi leur visage soucieux.
_ Que se passe-t-il ? Demanda-t-elle assez surprise.
Amone, son bras droit, leva la tête, ses yeux pâles, exprimant la fatigue, se posèrent sur elle. Il soupira avant de répondre.
_ Mikagi et son unité ne sont pas au camp se situant au Sud… personnes ne les a vu rentré dans un autre…
_ Qu’est-ce que ça signifie d’après toi ?
Kage posa sa main sur les épaules d’Arashi qui retenait ses larmes, Lucian et Nami se levèrent comme pour ne pas voir le visage de leur maîtresse se décomposer. Amone se leva à son tour pour la prendre dans ses bras.
_ Mikagi a dû faire un massacre…
Les yeux dorés de la jeune femme s’écarquillèrent instantanément. Elle recula de plusieurs pas.
_ Il faut partir Kage ! Cria Arashi. Il faut que tu partes !
La jeune Toketsu serra les points et leur sourit.
_ Je suis son épouse… voilà plus de deux mois que nous l’évitons…Je ne peux pas fuir éternellement vous comprenez ?
Tous baissèrent la tête, honteux de ne pas pouvoir défendre leur Ombre de se monstre de Toketsu. À leurs prunelles, la fille du chef du clan Natsu était une enfant immortellement vierge, si pure, si belle et si fragile dans la main de l’Homme Gelé.
_ Merci… Merci pour tout…
Sa froideur des champs de batailles avait laissé place à la reconnaissance. Elle s’inclina pour la première fois de sa vie face à dix personnes qui lui rendirent son geste. Le cor de l’Empire bleu résonna dans tout le campement, l’annonce de gens importants. On laissa un passage menant aux quartiers de la générale des quatre. Un homme en tête de la troupe, avançait la tête en l’air, le corps recouvert de sang. Il était suivit de son unité et des hommes d’AOI. Mikagi Toketsu s’arrêta au milieu du chemin. Ses longs cheveux noirs étaient attachés en une longue natte, ses vêtements étaient, eux, à moitié déchirés et les blessures qui s’en dessinaient se refermaient rapidement. Il leva les mains pour obtenir l’attention de tous.
_ Aujourd’hui, j’ai conquis trois villes JIMEN !
Des exclamations de joie explosèrent dans le campement sous cette annonce.
_ C’est pas finit ! J’ai exterminé tellement d’hommes que je n’ai su les comptés… J’ai arrêté à mille. Mais aujourd’hui… Ou plutôt cette nuit… C’est la récompense !! Aujourd’hui ! J’ai su que ma femme était toujours en vie, qu’elle n’avait aucunes blessures et qu’elle m’attendait ici.
Alors que Mikagi blablatait, les Dix de l’Ombre Gelée s’étaient regroupés autour d’elle, constatant avec horreur l’état de l’époux de la jeune femme.
_ Il est ivre… expliqua Lucian… Tellement ivre qu’il ne sait plus vraiment se qu’il dit… Il faut cacher Kage, dit-il en regardant Amone.
_ Et puis quoi encore !?
Toketsu l’Homme était face à eux sans qu’ils s’en rendent compte, les yeux exorbités, le blanc un peu rougit par l’alcool.
_ Tu as trop bu…
_ Depuis quand Lucian, tu me tiens tête et me tutoies ? Qu’est-ce… Qu’est-ce que ça veut dire ? Depuis quand on me tient tête ainsi ?
_ C’est répétitif… ajouta Amone.
Quelque chose d’étrange passa dans les yeux de la plus grande terreur de l’Empire bleu. Il attrapa la gorge du bras droit de son épouse, le faisant s’agenouiller devant lui, personne ne bougea du côté de l’Ombre, seule Kage avait le pouvoir d’intervenir sans créer une guerre interne entre les deux Dix et c’est ce qu’elle fit.
_ Lâche-le ! C’est un ordre de ta Générale !
_ Ma Générale ? Tu es ma femme !
_ Et ta supérieure hiérarchique !
Mikagi lâcha prise, alors Amone s’écroula au sol pour essayer de respirer.
_ Ma supérieure ? MA SUPERIEURE ?!?
Toketsu saisit les cheveux de son épouse qui protesta et cria de douleur.
_ Arrête ! Tu me fais mal !!
Il la traîna jusqu’à la tente de celle-ci, la jetant dans un lit d’eau qui se referma sur elle avant de la ramener à la surface. Sa chevelure maintenant humide s’étala autour de sa tête. L’homme Gelé commença à se déshabiller, jetant ses vêtements non réutilisables sur une des chaises. Puis il arracha ceux de Kage avec force, se vautrant sur elle une fois fait. La jeune femme resta pétrifiée mais lorsqu’il passa ses mains sous ses hanches, elle hurla, le griffa pour qu’il la laisse tranquille.
_ Qu’est-ce qui te prend Kage ?
_ Je ne veux pas ! Laisse moi !
_ Ah oui ! Montre moi donc ta supériorité !
Mikagi déposa de multiples baissers dans le cou de la femme qu’il possédait aux creux de ses bras. L’Ombre Gelée résista le plus longtemps possible avant de céder, une heure de hurlement, d’insultes, de débats inutiles sous le corps, les mains, les lèvres de Toketsu qui connaissait et savait comment faire vibrer Kage. La chaleur augmenta, l’Homme Gelé voyant son plaisir grandir, se para de sa femme. Kage se boucha le nez pour ne pas crier, car la pénétration était toujours difficile de par le fait que chaque rapport elle reperdait son innocence mais aussi le fait qu’elle soit si étroite. Le va et vien de Toketsu resta lent sous les hoquetages de son épouse. Il la massa, lui lécha le ventre puis la poitrine pour s’arrêter sur son sein gauche ; Il lui mordilla le téton, la femme posa une main sur l’épaule de son époux pour se maintenir callée. Mikagi retira la main qui bouchait le nez de son épouse qui en fut surprise et effrayée.
_ Je veux que tu sois avec moi, je veux te voir rougir dans mon effort. Aime-moi Kage, aime-moi comme une femme aime l’homme de son existence, aime-moi comme moi je t’aimais, t’aime et t’aimerai à tout jamais.
Il déposa avec une délicatesse surprenante ses lèvres sur les siennes. L’ombre Gelée se détendit pour la première fois dans les bras de Mikagi, sa bouche s’entrouvrit et leur langue se connaissèrent avec avidité et gourmandise. Les tatouages de l’Homme Gelé firent briller et fusionner ceux de l’Ombre. Toketsu se mit en position assise entraînant son épouse avec lui. Leur respiration s’accéléra, et des cris commencèrent à sortir de leur gorge. Leurs plaintes de plaisir primitif confirmaient que Kage allait bien au niveau des Dix, pour la première fois, Mikagi faisait l’amour à sa femme sans la faire souffrir, mais en lui donnant du plaisir. Les minutes passèrent lentement aux yeux du couple, qui transpirait, s’enlaçait dans un monde en arrêt. Les yeux dorés de Kage plongeaient dans le bleu de ceux de Mikagi.
_ Je t’aime Kage… Je t’aimerai toute mon existence.
Il enfouit son visage dans le cou de son épouse. Leur plaisir augmenta jusqu’à atteindre l’orgasme. Le corps de Toketsu s’écroula de tout son poids sur celui de sa femme. Il caressa son visage radieux et magnifique, elle le regarda alors qu’il était toujours en elle.
_ Qu’est-ce qui t’as prit ?
_ Je te demande pardon mon Ombre, je n’ai pas tout saisis ?
_ Tu m’as fait l’amour sans sang…
Mikagi resta figé. Il est vrai qu’il avait toujours été horrible avec elle. Ce qu’il aimait s’était voir le visage de sa femme se décomposer à chaque pénétration et coup de couteau. Mais là, c’était magique, son visage avait un peu rougit surtout sur ses joues qui brillaient par le plaisir et son corps continuait de vibrer sous lui. Toketsu sourit à son épouse encore plus surprise.
_ Aurais-tu aimé que je te saigne ?
Kage resta pétrifiée, elle recommençait à avoir peur et elle voulut se dégager, mais Mikagi la retint en la serrant fort contre lui.
_ Non ! Hurla-t-elle. NON !!
_ Je ne recommencerais plus ! Plus jamais Kage ! Kage…
Il essaya de la calmer, lui saisissant le visage pour qu’elle le regarde.
_ Plus jamais il n’y aura de sang ! Juste de l’amour n’est-ce pas ce que tu voulais ?
_ Plus de sang… répéta Toketsu la femme.
_ Plus jamais ! Je te le promets. Je t’aime Kage.
Son membre inférieur s’éloigna ou plus exactement se retira du bas ventre de son épouse. Il s’allongea à côté d’elle, lui caressant la poitrine. Elle ferma les yeux, se rapprocha de lui et ils s’endormirent ensemble sur le petit matin alors que la garde d’AOI se levait.
L’ombre Gelée regarda sans expression son peuple ou plutôt ses hommes si affaiblit et si tristes… Les Dix se tenaient au coin d’un feu à l’écart des autres guerriers. Kage s’approcha d’eux et remarqua ainsi leur visage soucieux.
_ Que se passe-t-il ? Demanda-t-elle assez surprise.
Amone, son bras droit, leva la tête, ses yeux pâles, exprimant la fatigue, se posèrent sur elle. Il soupira avant de répondre.
_ Mikagi et son unité ne sont pas au camp se situant au Sud… personnes ne les a vu rentré dans un autre…
_ Qu’est-ce que ça signifie d’après toi ?
Kage posa sa main sur les épaules d’Arashi qui retenait ses larmes, Lucian et Nami se levèrent comme pour ne pas voir le visage de leur maîtresse se décomposer. Amone se leva à son tour pour la prendre dans ses bras.
_ Mikagi a dû faire un massacre…
Les yeux dorés de la jeune femme s’écarquillèrent instantanément. Elle recula de plusieurs pas.
_ Il faut partir Kage ! Cria Arashi. Il faut que tu partes !
La jeune Toketsu serra les points et leur sourit.
_ Je suis son épouse… voilà plus de deux mois que nous l’évitons…Je ne peux pas fuir éternellement vous comprenez ?
Tous baissèrent la tête, honteux de ne pas pouvoir défendre leur Ombre de se monstre de Toketsu. À leurs prunelles, la fille du chef du clan Natsu était une enfant immortellement vierge, si pure, si belle et si fragile dans la main de l’Homme Gelé.
_ Merci… Merci pour tout…
Sa froideur des champs de batailles avait laissé place à la reconnaissance. Elle s’inclina pour la première fois de sa vie face à dix personnes qui lui rendirent son geste. Le cor de l’Empire bleu résonna dans tout le campement, l’annonce de gens importants. On laissa un passage menant aux quartiers de la générale des quatre. Un homme en tête de la troupe, avançait la tête en l’air, le corps recouvert de sang. Il était suivit de son unité et des hommes d’AOI. Mikagi Toketsu s’arrêta au milieu du chemin. Ses longs cheveux noirs étaient attachés en une longue natte, ses vêtements étaient, eux, à moitié déchirés et les blessures qui s’en dessinaient se refermaient rapidement. Il leva les mains pour obtenir l’attention de tous.
_ Aujourd’hui, j’ai conquis trois villes JIMEN !
Des exclamations de joie explosèrent dans le campement sous cette annonce.
_ C’est pas finit ! J’ai exterminé tellement d’hommes que je n’ai su les comptés… J’ai arrêté à mille. Mais aujourd’hui… Ou plutôt cette nuit… C’est la récompense !! Aujourd’hui ! J’ai su que ma femme était toujours en vie, qu’elle n’avait aucunes blessures et qu’elle m’attendait ici.
Alors que Mikagi blablatait, les Dix de l’Ombre Gelée s’étaient regroupés autour d’elle, constatant avec horreur l’état de l’époux de la jeune femme.
_ Il est ivre… expliqua Lucian… Tellement ivre qu’il ne sait plus vraiment se qu’il dit… Il faut cacher Kage, dit-il en regardant Amone.
_ Et puis quoi encore !?
Toketsu l’Homme était face à eux sans qu’ils s’en rendent compte, les yeux exorbités, le blanc un peu rougit par l’alcool.
_ Tu as trop bu…
_ Depuis quand Lucian, tu me tiens tête et me tutoies ? Qu’est-ce… Qu’est-ce que ça veut dire ? Depuis quand on me tient tête ainsi ?
_ C’est répétitif… ajouta Amone.
Quelque chose d’étrange passa dans les yeux de la plus grande terreur de l’Empire bleu. Il attrapa la gorge du bras droit de son épouse, le faisant s’agenouiller devant lui, personne ne bougea du côté de l’Ombre, seule Kage avait le pouvoir d’intervenir sans créer une guerre interne entre les deux Dix et c’est ce qu’elle fit.
_ Lâche-le ! C’est un ordre de ta Générale !
_ Ma Générale ? Tu es ma femme !
_ Et ta supérieure hiérarchique !
Mikagi lâcha prise, alors Amone s’écroula au sol pour essayer de respirer.
_ Ma supérieure ? MA SUPERIEURE ?!?
Toketsu saisit les cheveux de son épouse qui protesta et cria de douleur.
_ Arrête ! Tu me fais mal !!
Il la traîna jusqu’à la tente de celle-ci, la jetant dans un lit d’eau qui se referma sur elle avant de la ramener à la surface. Sa chevelure maintenant humide s’étala autour de sa tête. L’homme Gelé commença à se déshabiller, jetant ses vêtements non réutilisables sur une des chaises. Puis il arracha ceux de Kage avec force, se vautrant sur elle une fois fait. La jeune femme resta pétrifiée mais lorsqu’il passa ses mains sous ses hanches, elle hurla, le griffa pour qu’il la laisse tranquille.
_ Qu’est-ce qui te prend Kage ?
_ Je ne veux pas ! Laisse moi !
_ Ah oui ! Montre moi donc ta supériorité !
Mikagi déposa de multiples baissers dans le cou de la femme qu’il possédait aux creux de ses bras. L’Ombre Gelée résista le plus longtemps possible avant de céder, une heure de hurlement, d’insultes, de débats inutiles sous le corps, les mains, les lèvres de Toketsu qui connaissait et savait comment faire vibrer Kage. La chaleur augmenta, l’Homme Gelé voyant son plaisir grandir, se para de sa femme. Kage se boucha le nez pour ne pas crier, car la pénétration était toujours difficile de par le fait que chaque rapport elle reperdait son innocence mais aussi le fait qu’elle soit si étroite. Le va et vien de Toketsu resta lent sous les hoquetages de son épouse. Il la massa, lui lécha le ventre puis la poitrine pour s’arrêter sur son sein gauche ; Il lui mordilla le téton, la femme posa une main sur l’épaule de son époux pour se maintenir callée. Mikagi retira la main qui bouchait le nez de son épouse qui en fut surprise et effrayée.
_ Je veux que tu sois avec moi, je veux te voir rougir dans mon effort. Aime-moi Kage, aime-moi comme une femme aime l’homme de son existence, aime-moi comme moi je t’aimais, t’aime et t’aimerai à tout jamais.
Il déposa avec une délicatesse surprenante ses lèvres sur les siennes. L’ombre Gelée se détendit pour la première fois dans les bras de Mikagi, sa bouche s’entrouvrit et leur langue se connaissèrent avec avidité et gourmandise. Les tatouages de l’Homme Gelé firent briller et fusionner ceux de l’Ombre. Toketsu se mit en position assise entraînant son épouse avec lui. Leur respiration s’accéléra, et des cris commencèrent à sortir de leur gorge. Leurs plaintes de plaisir primitif confirmaient que Kage allait bien au niveau des Dix, pour la première fois, Mikagi faisait l’amour à sa femme sans la faire souffrir, mais en lui donnant du plaisir. Les minutes passèrent lentement aux yeux du couple, qui transpirait, s’enlaçait dans un monde en arrêt. Les yeux dorés de Kage plongeaient dans le bleu de ceux de Mikagi.
_ Je t’aime Kage… Je t’aimerai toute mon existence.
Il enfouit son visage dans le cou de son épouse. Leur plaisir augmenta jusqu’à atteindre l’orgasme. Le corps de Toketsu s’écroula de tout son poids sur celui de sa femme. Il caressa son visage radieux et magnifique, elle le regarda alors qu’il était toujours en elle.
_ Qu’est-ce qui t’as prit ?
_ Je te demande pardon mon Ombre, je n’ai pas tout saisis ?
_ Tu m’as fait l’amour sans sang…
Mikagi resta figé. Il est vrai qu’il avait toujours été horrible avec elle. Ce qu’il aimait s’était voir le visage de sa femme se décomposer à chaque pénétration et coup de couteau. Mais là, c’était magique, son visage avait un peu rougit surtout sur ses joues qui brillaient par le plaisir et son corps continuait de vibrer sous lui. Toketsu sourit à son épouse encore plus surprise.
_ Aurais-tu aimé que je te saigne ?
Kage resta pétrifiée, elle recommençait à avoir peur et elle voulut se dégager, mais Mikagi la retint en la serrant fort contre lui.
_ Non ! Hurla-t-elle. NON !!
_ Je ne recommencerais plus ! Plus jamais Kage ! Kage…
Il essaya de la calmer, lui saisissant le visage pour qu’elle le regarde.
_ Plus jamais il n’y aura de sang ! Juste de l’amour n’est-ce pas ce que tu voulais ?
_ Plus de sang… répéta Toketsu la femme.
_ Plus jamais ! Je te le promets. Je t’aime Kage.
Son membre inférieur s’éloigna ou plus exactement se retira du bas ventre de son épouse. Il s’allongea à côté d’elle, lui caressant la poitrine. Elle ferma les yeux, se rapprocha de lui et ils s’endormirent ensemble sur le petit matin alors que la garde d’AOI se levait.
